- du fait de la longueur (mais nous n'avions pas le choix si nous voulions avoir un toit ce soir),
- du fait du profil de la route (succession de bosses, d'un bout à l'autre, souvent très raides),
- du fait du temps (très chaud et très lourd)
- du fait de la nature même du chemin (essentiellement en herbe très grossièrement fauchée ce qui, tous les marcheurs le savent, est très fatiguant à la longue car chaque avancée de pied est frainée par l'herbe).
Ajoutez à cela l'absence totale de rencontre sur le chemin, qui devient de plus en plus pesante et vous comprendrez que nous étions heureux d'arriver, d'autant que l'accueil pèlerins est nickel et que nous y retrouvons (une fois n'est pas coutume !) quatre autres de nos "congénères".
Demain soir, nous arriverons à Toulouse. Pour nous y rendre, nous choisirons la route qui suit le canal du midi, plus courte et surtout toute plate ! Et puis, nous y rencontrerons peut-être des mariniers...
Allez vous enfin avouer : on vous manque !!!!
RépondreSupprimerConsolez vous si la journée a été étouffante pour vous, aujourd'hui , ici, c'était gris et ce soir ça s'est terminé par un déluge. Il fait bon à l'intérieur, nous allons nous installer devant le 1er match de l'euro. Allez la France!Et pour demain, allez les BUBU..... Bisous
RépondreSupprimer2 à 1 c'est magique !
RépondreSupprimerEn week-end à Tregastel nous confirmons la météo est pourrie. Nous avons fait la route sous une pluie battante.
le chemin que vous empruntez n'est pourtant pas confidentiel ! Comment vous expliquez vous cette désertification ?
Courage. Nous sommes avec vous.
Bises.