Les paysages ont été très variés : cultures de céréales au début, puis bordure de route nationale (toujours la N12 !), puis très longue montée et descente interminable dans un chemin forestier, avant d'emprunter la route pendant les derniers kilomètres.
La chaleur est probablement responsable des petites ampoules qui viennent, depuis quelques jours, décorer les orteils de Martine... Mais on se console en se disant que nous y avons échappé jusque là, ce qui loin d'être le cas de tous les pèlerins qui, pour bon nombre d'entre eux clopinent depuis déjà pas mal de temps !
Alors que les pieds de Martine trouvent qu'il fait largement assez chaud, à St Barthélemy les nôtres aimeraient se trouver en sandalettes , ce soir on se croirait en octobre...Si on en croit les tablettes, demain soir vous serez sous la barre des 500 km...
RépondreSupprimerBon courage pour le dernier tiers.
Bises.
Marie Claude et Jean François
Vous adoptez le mode de vie espagnol levé tôt et sieste aux heures les plus chaudes. Mais tu ne parles pas de sieste......
RépondreSupprimerbises.
Coucou !
RépondreSupprimerAvec les ampoules de Martine vous pourriez peut être envisager de marcher la nuit ?!!!!..Oui je sais , trop facile de se moquer !... mais je suis toujours de tout coeur avec vous par la pensée .
Plein de bises .
Françoise
La cathédrale de Burgos... c'est une merveille à ne pas louper !
RépondreSupprimerQuant aux tapas dans les petites rues derrière la cathédrale... n'en parlons pas. Profitez-en !
Bisous de JP
Après Burgos, vous allez la quitter (la N12) et retrouver des chemins plus désert surtout si vous prenez les chemins alternatifs (calzada romana, calzada de los perigrinos...) et dans la Meseta vous aurez souvent l'impression d'être seuls au milieu de nulle part, sinon seuls au monde. Bon courage pour cette dernière partie.
RépondreSupprimerAmitiés.
Claude